Si tu as été enfant des années 50/60
Verfasst: Samstag 19. November 2011, 00:01
Man bekommt ja taeglich so einiges in seine Mailbox gespuelt... meist, naja
Aber heut...
Stell das mal so rein...
gehoer zufaellig zu dieser Generation und find alles treffend beschrieben
Si tu as été enfant des années 50/60
Comment as-tu fait pour survivre ???
Enfants, nous allions dans des voitures sans ceintures de sécurité, ni airbags. Voyager à l’arrière d’une camionnette était une promenade sympa.
On s’en souvient encore...
Nos berceaux étaient peints avec des couleurs brillantes à base de plomb !
Il n’y avait pas de bouchons de sécurité sur les bouteilles de médicaments, ni sur les tiroirs ou les portes...
Quand nous partions à vélo, nous n’avions ni casque, ni protection pour les coudes ou les genoux.
(Nos parents ne portaient pas plainte contre le maire parce qu’il y avait un trou dans le goudron qui nous avait fait tomber)
On buvait de l’eau du robinet du jardin ou là où on en trouvait, jusqu’à ce qu’on n’ait plus soif. On n’avait pas de bouteille d’eau minérale.
Après quelques chocs, on avait appris à résoudre le problème... On se laissait tomber contre un arbre ou par terre.
(Le SAMU n ’intervenait pas à chaque chute)
On sortait jouer à la seule condition de rentrer pour l’heure du repas...
On allait à l’école pour travailler et apprendre et non pour « développer notre potentiel de créativité »
Lorsqu’on ne travaillait pas, l’instit nous donnait des punitions ou des coups de règles sur les doigts.
(Nos parents ne sont jamais aller porter plainte. On savait qu’on l’avait mérité)
On n’avait pas de portable... On écrivait des lettres et des cartes postales...
On se coupait, on se cassait les os, on perdait des dents, mais, il n’y a jamais eu de plainte pour ces accidents… Personne n’était coupable... seulement nous-mêmes.
On jouait aux gendarmes et aux voleurs, on jouait avec des pétards, on n ’a jamais fait brûler de voitures...
On partageait une Limonade entre quatre (quand l’on pouvait se l’acheter car c’était la bouteille en verre d’un litre)... On buvait tous à la même bouteille et personne n’est mort pour
On n’avait pas de Play Stations, MP3, Nintendo 64, XBoxs, Jeux Vidéo, 99 chaînes de TV par câble, vidéo graveurs, ciné, son “surround”, portables, ordis, “Chat”, Internet, etc ...
Par contre: On avait de vrais amis
On sortait, on prenait nos vélos ou on marchait jusqu’à chez nos copains, on sonnait ou...on entrait tout simplement sans sonner et on allait jouer… On n ’envoyait pas un Wizz sur MSN
Nos amis s’appelaient, Pierre, Jacques, Sylvie et non Sacha31, Labelle75 ou Slup@XX
On jouait avec des bâtons, avec des balles de tennis, aux policiers et aux voleurs, à cache-cache, au football, au ballon prisonnier, à la poupée aux petites voitures et non aux SIM ’S ou à Second Life.
Certains n’étaient pas de très bons élèves, ils devaient simplement redoubler l’année quand ils ne réussissait pas. Personne n’allait chez le psychologue, ni le psychopédagogue. (Simplement, on redoublait et on avait une deuxième chance.)
Ceux qui ne voulaient pas faire d’études partaient en apprentissage.
Ce n’était pas une sanction.
On a fait l’expérience de la liberté, des succès et des échecs, des responsabilités...
(Et on a appris à se débrouiller.)
Es-tu de cette génération ?
Alors?
salut wolle
Aber heut...
Stell das mal so rein...
gehoer zufaellig zu dieser Generation und find alles treffend beschrieben
Si tu as été enfant des années 50/60
Comment as-tu fait pour survivre ???
Enfants, nous allions dans des voitures sans ceintures de sécurité, ni airbags. Voyager à l’arrière d’une camionnette était une promenade sympa.
On s’en souvient encore...
Nos berceaux étaient peints avec des couleurs brillantes à base de plomb !
Il n’y avait pas de bouchons de sécurité sur les bouteilles de médicaments, ni sur les tiroirs ou les portes...
Quand nous partions à vélo, nous n’avions ni casque, ni protection pour les coudes ou les genoux.
(Nos parents ne portaient pas plainte contre le maire parce qu’il y avait un trou dans le goudron qui nous avait fait tomber)
On buvait de l’eau du robinet du jardin ou là où on en trouvait, jusqu’à ce qu’on n’ait plus soif. On n’avait pas de bouteille d’eau minérale.
Après quelques chocs, on avait appris à résoudre le problème... On se laissait tomber contre un arbre ou par terre.
(Le SAMU n ’intervenait pas à chaque chute)
On sortait jouer à la seule condition de rentrer pour l’heure du repas...
On allait à l’école pour travailler et apprendre et non pour « développer notre potentiel de créativité »
Lorsqu’on ne travaillait pas, l’instit nous donnait des punitions ou des coups de règles sur les doigts.
(Nos parents ne sont jamais aller porter plainte. On savait qu’on l’avait mérité)
On n’avait pas de portable... On écrivait des lettres et des cartes postales...
On se coupait, on se cassait les os, on perdait des dents, mais, il n’y a jamais eu de plainte pour ces accidents… Personne n’était coupable... seulement nous-mêmes.
On jouait aux gendarmes et aux voleurs, on jouait avec des pétards, on n ’a jamais fait brûler de voitures...
On partageait une Limonade entre quatre (quand l’on pouvait se l’acheter car c’était la bouteille en verre d’un litre)... On buvait tous à la même bouteille et personne n’est mort pour
On n’avait pas de Play Stations, MP3, Nintendo 64, XBoxs, Jeux Vidéo, 99 chaînes de TV par câble, vidéo graveurs, ciné, son “surround”, portables, ordis, “Chat”, Internet, etc ...
Par contre: On avait de vrais amis
On sortait, on prenait nos vélos ou on marchait jusqu’à chez nos copains, on sonnait ou...on entrait tout simplement sans sonner et on allait jouer… On n ’envoyait pas un Wizz sur MSN
Nos amis s’appelaient, Pierre, Jacques, Sylvie et non Sacha31, Labelle75 ou Slup@XX
On jouait avec des bâtons, avec des balles de tennis, aux policiers et aux voleurs, à cache-cache, au football, au ballon prisonnier, à la poupée aux petites voitures et non aux SIM ’S ou à Second Life.
Certains n’étaient pas de très bons élèves, ils devaient simplement redoubler l’année quand ils ne réussissait pas. Personne n’allait chez le psychologue, ni le psychopédagogue. (Simplement, on redoublait et on avait une deuxième chance.)
Ceux qui ne voulaient pas faire d’études partaient en apprentissage.
Ce n’était pas une sanction.
On a fait l’expérience de la liberté, des succès et des échecs, des responsabilités...
(Et on a appris à se débrouiller.)
Es-tu de cette génération ?
Alors?
salut wolle